

1984 : After short studies at the École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne, Xavier JEKL decides to take the plunge and become fashion illustrator.

1984 : Après un passage à l’ École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne, Xavier JEKL choisit de se lancer comme illustrateur de mode.

« Tout est déjà là dans les premiers dessins »
Pierre Bergé.

En 1984, à l’ École de la Chambre Syndicale, le premier dessin de Xavier se réfère à Saint Ex, Jean Cocteau et Yves Saint Laurent.


Février 1984 : Xavier intègre, en cours d’année, l’ École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne.
Durant les vacances de février, il suit 2 semaines de cours en accéléré, afin de réduire le décalage avec les autres élèves ayant intégré l’école en septembre 1983.

1984 : Xavier est le premier étudiant de l’ École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne, à se consacrer au vestiaire « masculin ».
Le programme de l’école est alors entièrement concentré sur le vestiaire féminin.

12 Juin 1984 : École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne.
Pour son examen de fin d’année scolaire (dessin), Xavier utilise une silhouette inspirée du dessin d’Antonio LOPEZ (campagne publicitaire MISSONI de 1983) l’ayant conduit vers la mode.


12 Juin 1984 : École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne.
Création pour l’examen (couture) de fin de première année.





Été 1984 : Premier book
Après 5 mois d’études à l’ École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne, Xavier JEKL choisit de se lancer comme illustrateur de mode. Il consacre l’été à la création de son premier book.

1984 : Bob KRIEGER / Michael DUPRÉ
Ce dessin de marin a comme source une publicité pour la collection Masculin ( dite Querelle ) Printemps/Été 1984 de Claude MONTANA.

Si ce premier dessin de Xavier apparaît comme maladroit, il demeure l’un de ses préférés. Sans doute en souvenir de l’innocence de ses débuts.

Été 1984 : Xavier n’a pas encore vu le film Querelle de Rainer Werner FASSBINDER avec celui qui deviendra, peu après, l’une de ses icônes : Brad DAVIS.